LES ABSENTS DE L’ETE

Glaudinet somnole. C’est l’été…

Je dis « somnole ». Je devrais dire « roupille »…

Où est passé notre alsacien de service ? Cela fait plus de deux semaines que nous ne l’avons pas entendu déclarer sa flamme à Nicolas et Carla.

Nous ne savons même pas si Marion a traversé avec brio l’épreuve du bac…

En ce qui concerne les bretons, ils sont à nouveau branchés sur l’extérieur, grâce aux collègues d’Admin (délai de 48h) qui ont été beaucoup plus efficaces que le très mauvais Darty (délai de transfert de ligne de 5 semaines minimum).

A quand les prochaines nouvelles des jeunes et des anciens ?

Ce contenu a été publié dans Non classé. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

7 réponses à LES ABSENTS DE L’ETE

  1. Marion dit :

    Je ne poste peut être quasiment jamais, mais je viens quand même souvent sur Glaudinet !! Je vous réannonce donc que j’ai eu mon bac (je crois que Denis n’a pas regardé sur tout le site car je l’ai écrit dans le chat !! 😆 )
    A bientôt pour la noce !

  2. denis dit :

    Un 19 en latin. C’est tout de même très très très sympathique Marion. Mais, pourquoi pas un 20 …???

  3. denis dit :

    L’Alsace est devenue muette. Aurait-elle été sarkozysée ? La presse wentzienne est-elle muselée ou le journaliste est-il passé dans le camp d’en face?

  4. denis dit :

    Il paraît que les alsaciens ont été retrouvés.
    Ils avaient été pris en otage par un dangereux groupe d’anarcho-syndicalistes bolchéviques. C’est Hortefeux et MAM qui les ont délivrés.  Ils ont d’ailleurs été invités à la garden party du 14 juillet à l’Élysée.

  5. Bernard dit :

    çà y est mon ordi est réparé :happy:

  6. denis dit :

    Tu as demandé aux mécanos du Ministère de l’Intérieur…?

  7. denis dit :

    Parmi les absents de l’été, il faut noter Sarko. Il a pris un très gros coup de fatigue pour avoir trop travaillé. Encore une coup de pub de la Com. de l’Elysée… Parce que Monsieur a couru sous le soleil et a fait un malaise, toute la France et toute la presse sont en émoi. C’est à mourir (!!!) de rire.

Laisser un commentaire