« Elle ne se fume pas, elle se broute…

… dans les pâturages de Bretagne », dixit le Canard Enchaîné, dans une critique du film « Herbe », de Matthieu Levain et Olivier Porte. Elever des vaches à l’herbe, c’est possible ? Nooooonnnnnn… et dire qu’on avait failli oublier ! :bing:

Ce contenu a été publié dans Non classé. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

5 réponses à « Elle ne se fume pas, elle se broute…

  1. mfrance dit :

    On oublie beaucoup de choses essentielles et naturelles:
    – que les vaches mangent de l’herbe,
    – que la neige tombe en hiver,
    – que les routes peuvent être glissantes
    – que les carottes ou la salade, on peut les éplucher soit-même et que forcément, c’est moins cher,
    – que le gruyère, on peut aussi le râper….
    On oublie tout cela, pour toujours faire plus vite et gagner plus et, … au final, on gagne moins et c’est moins valorisant! :/

  2. Annemarie dit :

    Pour plus ..quelque chose? je n’en suis même pas sûre! Peut être même que la question « pourquoi acheter ainsi ? « ne se pose même plus, que la question du sens donné à nos actes ne se pose même plus!!! 🙄

  3. Bernard dit :

    et dire qu’il suffirait de ne pas l’acheter por que cela ne se vendrait pas… :confus: Colluche

  4. Bernard dit :

    Phénomène majeur de notre société, le développement durable s’impose au cinéma comme véritable reflet d’une réalité bien présente. Matrice de nouveaux sujets, les scénaristes se lancent dans le durable. Ils alertent, accusent, poussent à la réflexion ou à l’action. Le respect de l’environnement est devenu un sujet grand public, des plus petits, aux plus vieux, des plus avertis aux plus novices.

    Un des plus réputés à ce jour est un documentaire. Une vérité qui dérange avec Al Gore. Représentant un monde altéré par le comportement de l’homme, il montre l’ensemble des enjeux liés au développement durable.
    Herbe, dernière sortie en date sur le développement durable impose un regard pédagogique de la confrontation entre des agriculteurs bretons qui refusent un modèle productiviste face aux tenants de l’agriculture intensive.

Laisser un commentaire